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Blog du Val d'Ouve

Deux films pour la fin de semaine

Le Normandy ouvre ses portes vendredi après-midi et samedi soir (Photo : D. Olivier-Lamesle)

Le Normandy ouvre ses portes vendredi après-midi et samedi soir (Photo : D. Olivier-Lamesle)

Génériques propose un film vendredi 16 mai après-midi et un autre, le samedi soir, au cinéma Le Normandy.

* Vendredi 16 mai, 14h30, 

MA MÈRE, DIEU et SYLVIE VARTAN (1h42)

En 1963, Esther met au monde Roland, petit dernier d’une famille nombreuse. Roland naît avec un pied-bot qui l’empêche de se tenir debout. Contre l’avis de tous, elle promet à son fils qu’il marchera comme les autres et qu’il aura une vie fabuleuse. Dès lors, Esther n’aura de cesse de tout mettre en œuvre pour tenir cette promesse. À travers des décennies d’épreuves et de miracles de la vie, ce film est le récit d’une histoire vraie, drôle et bouleversante, celle d’un destin incroyable et du plus grand amour qui soit : celui d’une mère pour son enfant.

*Touchant et drôle. (Femme actuelle)

*L’incroyable et universelle histoire (vraie) de l’amour sans bornes d’une mère pour son fils. (Télé 2 semaines)

*Un film plein d’humour et de tendresse. (Ouest France)

*Une histoire vraie qui fait passer du rire aux larmes et touche droit au cœur. (Le JDD)

* La variété façonne les imaginaires, ses tubes sont d’inépuisables boîtes à émotions et à souvenirs : cette comédie alerte et touchante, parfois trop sucrée, évoque avec sensibilité ce pouvoir quotidien et bienfaisant de la chanson. (Sud-Ouest)

*Le grain de folie de cette comédie dramatique, plus touchante que drôle, est apporté par Sylvie Vartan dans son propre rôle. Et, surtout, par Leïla Bekhti, qui, avec une verve bluffante, se métamorphose en mère juive séfarade digne de La vérité si je mens. (Télérama)

*****

* Samedi 17 mai, 20h30

LADS (1h31)

Ethan, 17 ans, devient apprenti-jockey dans une écurie d’obstacles, l’épreuve la plus violente du galop. Au contact des pur-sang, il découvre le monde des courses, des paris et de l’argent. Sa passion grandit, sa frustration aussi. Courir pour gagner, mais toujours au service des autres. Bientôt il devra choisir : transgresser les règles ou sauver sa peau.

"Au-delà d'une intrigue classique et des images spectaculaires au plus près des pur-sang, Lads a tout du récit initiatique, dominé par le jeu intense de Marco Luraschi, un enfant de la balle qui porte haut le nom de son père, le célèbre cascadeur Mario Luraschi. (Le Point)

« Lads » est le portrait sensible d’un gamin rebelle et déterminé en même temps qu’une plongée violente et passionnante dans le monde des chevaux. Le film vaut par son réalisme, sa justesse et l’interprétation formidable de tous les comédiens. (le Parisien )

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